Faut-il quitter la ville (à défaut de pouvoir y devenir propriétaire) ?

Vous avez envie de quitter le centre-ville, mais vous avez peur de le regretter ? Nos conseils pour prendre la bonne décision.

Faut-il quitter la ville (à défaut de pouvoir y devenir propriétaire) ?
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Avez-vous déjà connu l’envie irrépressible de quitter la ville ? En revenant de vacances, êtes-vous parfois tenté de rebrousser chemin pour vous installer à vie à côté de cette cabane à huîtres si paisible du Sud-Ouest ? En flânant devant cette agence immobilière près de chez vous, vous demandez-vous parfois l’intérêt de payer aussi cher pour un si petit logement dont vous êtes locataire ? Et en vous faufilant dans le métro bondé le matin, est-ce que vous fermez les yeux et songez à vous téléporter dans une ferme du Cantal ?

Ce genre d’idées, rassurez-vous, vous êtes loin d’être seul à les avoir dans la tête. De grands artistes ont même composé certains de leurs plus grands succès sur l’envie de quitter la capitale, preuve que le sujet en taraude plus d’un. Charles Aznavour : « Je quitte Paris ». Etienne Daho : « Paris, je ne t’aime plus ». Marc Lavoine : « Paris ». Serge Reggiani : « Le métro de Paris ». 

Alors faut-il passer à l’acte ?  Voyons comment répondre, par vous-même, à cette difficile question...

Envie de partir : attention au piège des biais cognitifs

Quand vous discutez avec vos amis des avantages de la campagne face à la ville, en général, le match est plié en quelques minutes. La ville, c’est l’enfer, c’est des logements minuscules, c’est cher, c’est pollué, c’est artificiel. Dans le même temps, la campagne est synonyme d’espace, de prix abordables, de nature et de quiétude.

Vu comme cela, le duel ville-campagne semble en fait tellement déséquilibré, qu’on se demande pourquoi tant de monde vit encore dans les grandes villes….

Attention à ne pas tomber dans le piège de deux célèbres biais cognitifs.

Le biais de confirmation, c’est la tendance instinctive de l'esprit à privilégier les informations qui confirment nos a priori. Exemple : J'ai toujours rêvé de vivre à la campagne. Donc la campagne, c'est génial.

L’effet de halo, ou « effet de notoriété » — selon lequel une première impression positive est souvent plus forte que plusieurs informations négatives reçues a posteriori. Exemple : La campagne, c'est joli. Donc même si c'est loin et isolé, la campagne, c'est génial.

Partir et regretter…

Stop, donc, aux biais cognitifs. Analysons la situation de manière rationnelle… Un petit nid à la campagne, il est vrai que c’est souvent moins cher qu’un studio à Paris ou à Lyon. Mais attention, une ferme dans la Creuse, c’est aussi beaucoup plus difficile à revendre.

S’il vous prenait l’envie de déménager à nouveau, dites-vous bien que votre grand espace sur le coup synonyme de liberté et de quiétude peut se transformer en piège duquel il devient difficile de s’extirper. À cela, ajoutons que grande maison signifie également plus d’entretien et plus d'impôt foncier.

Il y a aussi l’élément travail à ne pas négliger dans la réflexion. On a rien contre la Creuse, mais le fait est que le marché de l’emploi y est moins dynamique que dans les grandes villes.

Résultat : si vous découvrez que le télétravail à 100% n’est finalement pas votre tasse de thé ou que l’emploi que vous avez trouvez n’est pas à la hauteur de ce que vous imaginez, la chute peut être rude.

Faire machine arrière est plus compliqué. Si vous prenez tous ces points en compte, le match ville-campagne devient tout de suite beaucoup plus serré.  

Tout le monde veut se mettre au vert… vraiment ?


Oui, cette petite musique siffle souvent dans vos oreilles, elle est même devenue un tube durant le confinement. Sauf que les chiffres contredisent cette impression. À l’école, dans vos cours de géographie, on vous a parlé de soldes migratoires et c’est le moment d’être bon élève et de vous en rappeler.  Statistiquement, un phénomène se confirme depuis plus de 100 ans, c’est celui de l’exode rural.

Traduction : Ce ne sont pas les villes qui se vident, mais bien les villages qui se meurent.

« Oui, mais alors pourquoi est-ce que j’entends tous mes amis dire qu’ils veulent quitter Paris », vous demandez-vous ?

L’exode urbain est en fait surtout la marque d’un cycle de vie qui privilégie différents espaces à différents moments de l’existence.

Donc pour le dire autrement, si tous vos potes vous parlent de se mettre au vert, c’est surtout parce qu’ils sont dans une période de leur vie qui les y encourage... ou parce qu'ils pensent ne pas avoir les moyens de continuer à vivre en ville confortablement.

La mauvaise raison de vouloir partir des grandes villes

Et c’est là qu’intervient souvent une mauvaise raison de vouloir partir des grandes villes : l’achat immobilier. Si vous hésitez à déménager parce que vous ne pouvez pas vous y payer un logement, la meilleure solution est d’adopter une stratégie qui, justement, vous le permette.

Comment ? En devenant propriétaire le plus tôt possible. Vous évitez ainsi de jeter l’argent par les fenêtres tous les mois en payant un loyer et vous accumulez du capital, qui vous permet d’être libre d’effectuer les choix que vous souhaitez à chaque moment de votre vie.

Chez Virgil, on croit dur comme fer en l’investissement dans la pierre. Et la meilleure façon de le faire, c’est d’acheter sa résidence principale. Nous ne sommes ni une banque, ni une start-up, nous sommes la meilleure façon de devenir propriétaire. Nous investissons jusqu’à 100 000 euros d’apport à vos côtés pour vous permettre de devenir propriétaire sans attendre... et sans renoncer à votre vie.

Check-list : les questions à se poser avant de quitter une grande ville

Alors oui, il existe de nombreuses bonnes raisons de vouloir se mettre au vert. Mais plutôt que de prendre une telle décision contraint et forcé par l’aspect financier, donnez-vous plutôt toutes les chances d’être libre de votre choix.

Posez-vous ensuite les bonnes questions :

  1. Avez-vous pris en compte les biais cognitifs ?
  2. Avez-vous mesuré la différence entre des vacances à la campagne et un projet de vie à long terme ?
  3. Avez-vous pensé à ce à quoi vous renonceriez si vous quittiez la ville où vous habitez ?
  4. Avez-vous pensé à de nouvelles manières d’envisager votre vie avant de tout quitter ?
  5. Si le frein est financier, avez-vous étudié toutes les sources de financement possibles ?

Propriétaire à tout prix

En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire sans avoir besoin de quitter la ville dans laquelle vous habitez. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter ce qui nous fait rêver, là où on a envie de vivre. Devenez propriétaire, sans faire de compromis. Prêt à découvrir ce que vous pourriez acheter avec Virgil ?

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