Dans la vie, il y a ceux qui ont de la chance et ceux qui la créent. Thomas est de ceux-là, il détient cet art d’aligner les astres avec ses envies. Dans son parcours immobilier, Thomas a su saisir sa chance pour acquérir l’appartement de ses rêves, sans plomber son quotidien. Chronique d’un bonheur bien agencé.
Renverser la table
Assistant caméra pour des films de fiction ou des séries, Thomas est intermittent du spectacle. Quand la propriétaire de l’appartement qu’il loue dans le 13e arrondissement de Paris récupère son bien pour son fils, il cherche à en louer un autre mais tombe sur un os : son statut. Les portes de la location se ferment et, si contre-intuitif que cela puisse paraître, celles de l’achat s’ouvrent. Avec le soutien de ses parents, Thomas achète en 2017 un 25m2 aux côtés du cimetière du Père Lachaise à Paris qu’il retape entièrement avec son papa.
L’histoire aurait pu s'arrêter là et elle aurait déjà été jolie ainsi. Mais le hasard et la volonté de Thomas en ont décidé autrement.
Double coup de dés
Le sort sonne alors deux fois. Première piqûre, Thomas tombe sur une publicité Facebook de Virgil et « comme j’aime bien ce qui est moderne, je suis allé sur le site ».
Une phrase attise sa curiosité : « Dans les conditions, il était écrit que Virgil s’adressait aux personnes en CDI et aux intermittents. D’expérience, comme en tant qu’intermittent on ne peut pas acheter un aspirateur en trois fois à la Fnac, je les ai appelés pour comprendre ». L’échange est constructif et instructif mais Thomas n’a pas alors de projet d’achat. C’est là que le destin intervient une seconde fois.
Thomas raconte :
« j’adorais mon appartement et je ne cherchais pas à déménager. Mais je suis tombé sur une annonce sur le bon coin. J’appelle parce que le bien avait l’air canon ».
Perfect match
En le visitant, le crush est immédiat. Situé rue Sedaine, une de ses rues préférées de Paris, l’appartement est un 38m2, de deux pièces, dans un immeuble ancien, avec parquet, moulures, au 3e étage sur 6, le tout, orienté nord-ouest. Thomas est immédiatement séduit.
« J’ai fait une offre au prix, à 440 000€ immédiatement. J’ai expliqué mon projet à l’agent immobilier à savoir vendre mon studio après avoir acheté le 38m2. Il l’a visité le lendemain pour l’estimer. Avec 2 appartements à vendre-acheter, mon dossier est remonté sur le dessus de la pile », explique Thomas.
Heureusement car l’agent avait reçu 70 appels en une journée.
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Huiler la mécanique
Il vend, 4 ans après l’avoir acheté, son studio de 25m2 entièrement rénové à 322 000€, dégageant ainsi une plus-value de quelque 100 000€. Pour acheter la rue Sedaine, il emprunte avec l’apport en capital et le soutien de Virgil.
Un appui qui s’est révélé crucial tant pour obtenir un prêt avec un statut d’intermittent que pour préserver ses libertés quotidiennes et son pouvoir d’achat.
Il raconte : « Virgil a été très présent avec la banque et cette insistance m’a permis d’obtenir mon prêt. L’apport de Virgil m’a aussi permis de réduire mes mensualités ». Et ça change tout :
« Je paie les mêmes mensualités que pour mon studio du Père Lachaise alors que le prix du bien a doublé ».
Doubler la mise
Thomas se lance alors dans des travaux : 10 000€ de gros œuvre pour ouvrir une cloison, déposer une porte entre le hall d’entrée et la cuisine et installer une verrière. Les travaux sont quelque peu houleux avec des devis et factures contestés mais les conseils juridiques de Virgil s’avèrent précieux.
Le gros œuvre terminé, les finitions prennent les 4 derniers mois de l’année 2021, Thomas étant en tournage la semaine, il y consacre ses week-ends.
Quand il prend du recul, Thomas résume :
« j’ai mené une mission impossible, la barre est un peu haute pour le prochain maintenant ! ».
En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?
