Il est grenoblois, elle est bretonne. Il est ingénieur, et tous les deux ont usé leur 501 sur les bancs d’une école de commerce avant de patiner leurs baskets Faguo sur ceux de la startup nation. Elle recrute pour Qonto, la néo-banque, lui pilote la commercialisation de Sunday, le paiement par QR code de la restauration. À 32 ans, ils sont en couple depuis 8 ans.
Et, quand ils décident de se marier, l’appel de la propriété, la fin de leur emprunt étudiant, et « la petite musique sociale », les incitent à étudier le scénario achat d’appartement.
Qui dit emprunt dit apport
Seulement, leurs économies financent déjà leur mariage. Qui dit emprunt, dit apport, or, ils n’avaient pas anticipé cette question avec deux salaires confortables. Robin raconte :
« On a fait une simulation avec un courtier qui nous dit qu’on peut emprunter 600 000€ mais qu’il nous faut 10% d’apport. Donc on s’est dit qu’on allait emprunter moins mais ça ne fonctionne pas comme ça, c’est assez contre intuitif. On pouvait aller chercher nos parents mais ça n’était pas réjouissant ».
Faute de solution satisfaisante, Marjorie et Robin laissent l’idée de côté. D’autant qu’ils vivent dans un 53m2 rue de la Réunion dans le 20e arrondissement qui leur plaît énormément. Ils refusent de rogner sur leur confort de vie : « je ne voulais pas acheter pour acheter », explique Marjorie qui a déjà une idée très précise en tête :
Un appartement dans leur quartier, lumineux, 2 chambres, avec un balcon, une exposition Sud-Ouest, et aucun travaux.
La magie des Internets
« C’est là que la magie de l’advertising intervient », raconte Robin.
« Une publicité de Virgil nous tombe dessus, en nous expliquant qu’on peut financer notre apport. »
Premier contact est pris, on leur explique la mécanique : « financer 10%, récupérer 15 à la fin », résume Robin. Les trentenaires sont séduits par la solution, et par l’innovation.
Emballé, c’est pesé
« C’est là que la machine d’organisation Marjorie s’est mise en place », reprend Robin.
En une semaine, elle organise 8 visites qui les déçoivent toutes. Entre-temps, une pancarte Stéphane Plaza fleurit sur le balcon de l’immeuble faisant face au leur. Avec 64m2, le bien est un peu grand pour leur budget mais ils prennent quand même rendez-vous...
La visite les convainc.
Dans un immeuble des années 70, l’appartement compte deux chambres, un balcon de 10m2 avec deux portes-fenêtres, exposé sud-ouest, un salon avec une cuisine mi-ouverte, un bureau, une grande chambre et surtout aucun travaux, ce qui les soulage car
« Aucun de nous deux ne sait monter un meuble », sourit Marjorie.
Ils font une offre au prix - 590 000€ avec les frais d’agence - sans négocier car « le prix au m2 était convenable ». Seule une offre leur fait concurrence, mais en dessous du prix, elle ne les effraie pas vraiment : c'est dans la poche.
Leur proposition acceptée, vient le temps de financer l’achat. La transaction est sans accroc et ils emménagent, ravis, au début de l’automne.
Connaître le chemin
Avec le recul, Marjorie retient que mieux vaut être très au clair avec ses critères pour « ne pas perdre du temps à visiter des trucs qui ne collent pas. Je conseillerais aussi de se fixer des objectifs et un rétroplanning. Et si ça ne fonctionne pas, de revoir ses critères. ».
Et Robin, de conclure :
« In fine, Virgil nous a permis d’avoir un apport et d’acheter un peu plus grand ».
En investissant jusqu’à 150 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?