Marine est parisienne et compte bien le rester. Elle qui apprécie l’effervescence de la capitale a toujours su qu’elle y achètera son premier appartement. L’avantage de savoir exactement ce qu’on veut, c’est qu’on peut commencer à s’y préparer très tôt. Alors, des années durant, la jeune femme économise pour devenir propriétaire… mais malgré ses sacrifices, le marché parisien lui réserve une mauvaise surprise. Les appartements où elle se voit vivre sont bien au-dessus de son budget. Comme de nombreux primo-accédants, elle se retrouve face à un choix impossible : accepter de vivre dans un studio minuscule, ou quitter la ville pour de bon.
C’est au hasard d’une publicité sur les réseaux sociaux que Marine découvre une troisième solution : s’allier à Virgil pour acheter un appartement parisien sans aucun sacrifice. Une rencontre cruciale, que Marine nous raconte depuis son superbe appartement à Nation…
Parisienne un jour, Parisienne toujours ?
Le quartier de République avec le Canal Saint-Martin tout près : c’est le décor qu’a toujours connu Marine. Très jeune, elle prend goût à la vie citadine. Des solutions pour rentrer chez soi même tard le soir, une station de métro bien desservie à quelques minutes à pied, des restaurants ouverts à toute heure… voilà quelques-uns des privilèges auxquels elle ne veut surtout pas renoncer. Et pour y arriver, elle n’a pas peur de faire de gros sacrifices. À l’âge où les jeunes adultes se ruent sur de minuscules logements étudiants qu’ils louent à prix d’or, Marine préfère rester chez ses parents. Elle sait que chaque loyer économisé la rapproche de son but ultime, devenir propriétaire.
« Louer, ça aurait été jeter de l’argent par les fenêtres. J’ai préféré économiser pour avoir un apport plus conséquent au moment d’acheter. »
Cette décision lui permet d’échapper au cercle vicieux du piège locatif. À l’âge de 28 ans, alors qu’elle est en CDI depuis 5 ans, Marine se dit qu’il est enfin temps de chercher son appartement.
Mais ses premières recherches ne laissent aucune place au doute : même avec l’argent qu’elle a mis de côté, elle n’a toujours pas les moyens d’acheter un appartement suffisamment grand pour y vivre plusieurs années. Pas question, à son âge, de se contenter d’un studio. Alors elle se dit qu’il serait peut-être plus sage d’étendre ses recherches à la banlieue proche. Mais Nogent, Vincennes ou Saint-Mandé ne sont pas beaucoup moins chers que Paris intra-muros. Pour faire baisser les prix, il faut accepter de s’aventurer loin de la gare… Impensable, donc, pour cette jeune femme qui tient à sa mobilité. C’est le début de l’année 2020 : au bout de quelques mois d’indécision, la pandémie vient interrompre les recherches infructueuses de Marine.
Se sentir vraiment chez soi
« Ça peut être sympa, pourquoi pas… », se dit Marine lorsqu’elle voit passer une publicité pour Virgil.
On est en plein confinement et si les visites se sont arrêtées, Marine n’a pas cessé de réfléchir à son projet immobilier… sans grand succès. Impossible de trancher entre l’éloignement des appartements de banlieue et l’étroitesse des studios parisiens. Alors elle prend son premier rendez-vous avec Virgil, mais sans grande conviction : elle ne sait pas vraiment à quoi l’engage ce « copropriétaire » qui propose d’avancer une partie de son apport afin de lui permettre d’acheter un appartement plus cher que son budget initial.
Car si Marine a tant envie de devenir propriétaire, c’est parce qu’elle chérit son indépendance. Si l’envie lui prend d’abattre un mur, de refaire le parquet ou de repeindre les murs, elle ne veut demander d’autorisation à personne. Alors, au tout début de l’appel, elle fait part à l’experte Virgil de sa peur de ne pas « se sentir chez elle ». Qu’est-ce que cela veut dire, au juste, être deux dans un appartement ?
« Ce sera votre appartement, vous en faites ce que vous voulez ! » : la réponse de Marie, l’experte Virgil, a de quoi rassurer Marine. Virgil se contente d’avancer les fonds, mais ne contraindra Marine en rien. Après l’achat, Virgil se fait oublier. Cerise sur le gâteau : l’accompagnement va beaucoup plus loin que l’aspect financier. Si ce n’est pas ce qui intéresse Marine initialement, sur le marché hyper-compétitif de l’immobilier parisien, tout coup de pouce est le bienvenu. La concurrence est si rude que lorsqu’elle répond à une annonce quelques heures après sa publication, on l’informe qu’il n’y a pratiquement plus de place pour visiter l’appartement. Normal : il s’agit d’une vraie pépite à Nation, avec un balcon ensoleillé qui donne sur un parc.
Sur un marché parisien très tendu, les pépites se font rares et il faut savoir se démarquer. L’aide d’un professionnel est précieuse : grâce à Virgil, Marine peut remettre au vendeur une lettre de confort qui atteste de sa solvabilité. De quoi constituer un dossier en béton qui lui permet de remporter la seule offre qu’elle fait. Finalement, c’est elle qui obtiendra ce bel appartement à Nation. Et malgré la concurrence !
Et pour les travaux, besoin de personne !
Un achat d’appartement apporte son propre lot de tracas administratifs : il faut trouver une banque, un notaire… Oui, mais pas pour Marine. Car c’est son co-propriétaire Virgil qui s’occupe de tout. Il lui reste simplement à récupérer l’argent qu’elle a économisé et placé dans un compte d’épargne… sans savoir qu’elle ne pourra le retirer qu’une fois l’an, au mois de mai. Manque de chance : on est en juillet. Marine engage alors un bras de fer avec sa banque. C’est au cours de cette épreuve qu’elle mesure l’intérêt de l’accompagnement de Virgil.
« Ils m’ont fourni un véritable soutien psychologique pendant cette période délicate. Ils étaient très présents et réactifs, me répétaient que ça allait bien se passer… », se souvient Marine. Elle qui achète seule peut compter sur un interlocuteur de confiance pour répondre à ses questions et ses doutes, quelqu’un qui soit vraiment de son côté : « Ce n’était pas Virgil d’un côté et moi de l’autre. Ils étaient là pour moi à chaque étape, tout au long de la démarche. Marie est même venue visiter l’appartement avant que je ne fasse l’offre, pour vérifier que tout était bon et que je ne me faisais pas avoir »…
« Ce n’était pas Virgil d’un côté et moi de l’autre. Ils étaient là pour moi à chaque étape, tout au long de la démarche. »
Début décembre, Marine peut enfin entrer dans son nouvel appartement. « Nouveau »… mais au style un peu vieillot. La dernière occupante ? Une dame de 80 ans, pas vraiment le même profil que Marine. Alors, elle se lance un défi : tout refaire toute seule, ou presque. Elle fait appel à des professionnels pour les gros travaux structurants : il faut, entre autres, ouvrir la cuisine sur le salon et créer une séparation entre le salon et la chambre. Mais le reste, elle s’en occupe elle-même. Changer le carrelage de la salle de bain, refaire le parquet, peindre les murs…
Marine n’est pas peu fière du résultat. La pièce maîtresse ? Sa jolie salle de bain, digne d’un hôtel de luxe: « c’est la pièce que j’aime le plus ! »… sans oublier le balcon entouré de verdure : « Ce n’était pas un vrai critère dans mes recherches, mais c’est le genre de petits plus inespérés qui font vraiment plaisir… ». Qui a dit qu’il fallait quitter Paris pour se mettre au vert ?
« J’avoue, je me suis parfois demandé pourquoi je m’étais lancée là-dedans, surtout que je travaillais en même temps. Mais finalement, ça valait bien le coup ! »
En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?