Témoignages
Anaîs et Andrea, et leur duplex

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup de biens

En février 2020, lui commercial dans une startup et elle acheteuse de vins dans la grande distribution, ils tentent leur chance sur un coup de dés. Anaïs et Andrea sont propriétaires d’un deux pièces collé au Bataclan, dans le 11e arrondissement, acheté 410 000€ un an et demi plus tôt. Selon un ami agent immobilier, le premier étage sur cour qu’ils ont entièrement rénové en vaut déjà 595 000€.

Le parisien et la toulousaine jouent alors la bonne étoile, et banco, ça fonctionne.

Dès la seconde visite, ils reçoivent une offre au prix « clairement les acheteurs s'offrent notre décoration et nos travaux. Ils nous ont demandé de laisser les tringles, les rideaux, les luminaires, où on avait acheté notre fauteuil. On avait fait de notre appart un boutique hôtel » résume Anaïs. Pari gagné.

Contourner les mauvaises surprises 


Leur premier bien sous compromis, ils parallélisent leurs recherches dans le XIe ainsi qu’à Vincennes et Saint-Mandé (94). Anaïs passe en mode obsession :

« quand on me donne une mission, il faut que ça aille vite, sourit-elle. Je suis un peu mono maniaque et j’adore l’immobilier ».

Résultat, elle trouve un séduisant souplex à Vincennes. Mais la perle est viciée et la notaire tempère très rapidement leur enthousiasme. Les fenêtres du sous-sol n’ayant pas été déclarées en bonne et due forme, l’espace ne constitue pas légalement du m² habitable, pourtant vendu comme tel. La cave se révèle être un vide sanitaire, comprendre un espace nécessaire mais inexploitable. 


All in 


Qu’à cela ne tienne, Anaïs repart en chasse quand pour le couple, un baby s’annonce. Il s’agit dorénavant d'anticiper la vie à trois et de trouver à la famille un nid.

« Un jour, je tombe sur une annonce sur Gens de confiance, un 51m² à 700 000€ avec possibilité de réunir des combles. J’appelle pour demander si le prix est négociable mais la vendeuse refuse, l’appartement est déjà sous compromis. J’oublie assez vite cette conversation et je continue les visites. On a dû voir 8 ou 9 appartements au total ».

Mais la vendeuse rappelle, car ses acheteurs n’ont pas obtenu leur emprunt. Anaïs et Andréa visitent l’appartement, installé près du restaurant de Pierre Sang, toujours dans le XIe. 

Sixième et dernier étage avec ascenseur, traversant, ancien, parquet en point de Hongrie, balcon. Et 3 chambres de bonnes dont seule une est reliée à l’appartement. Il faut acheter 2m² de palier à la copropriété pour réunir les espaces. Un immense potentiel qui séduit Anaïs et Andrea :

« on a besoin de faire de gros travaux pour s’approprier l’espace ».

Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, la vendeuse baisse son prix de plus de 50 000€, ils achèteront le bien 646 000€. 


Emprunter, en plein confinement


Le financement est un poil plus épineux. À l’approche du premier confinement, et dans l’incertitude de l’épidémie naissante, les banques minimisent leurs risques :

« notre banque nous avait annoncé un taux à 2% parce qu’elle ne voulait plus accorder de prêt, elle avait trop peur de la période ».

Anaïs et Andrea refusent, trop cher, puis se tournent vers Virgil découvert sur les réseaux sociaux. Pour consolider leur projet d’un nid familial tout en s’épargnant une nouvelle montagne russe émotionnelle, Anaïs et Andrea décident d’acheter à 3 avec Virgil. La société co-investit à leurs côtés et s'occupe de monter le dossier de financement de A à Z. Double effet Kiss Cool : sécuriser le montage financier et ainsi gagner des points de vie en tranquillité d’esprit. Ainsi, tout s’accélère, ils obtiennent leur prêt à 1,5% en un mois et un accompagnement au cordeau pour leur financement. Dans le panier de la mariée, ils apportent la plus-value de la revente de leur premier appartement et 26 000€ de Virgil.

« On savait combien on pouvait emprunter parce qu’on avait fait des simulations avec un courtier. Au final, on aurait pu emprunter sans Virgil mais ça réduit les mensualités. En fait, on a acheté à trois, pas à deux », résume-t-elle. 


Le processus de vente suit son cours malgré le confinement. Deux jours après avoir vendu leur premier appartement, ils achètent le 28 août 2020. Avec un caillou dans la chaussure. Faute de soutien de leur vendeuse, ils n’ont pas pu racheter le palier leur permettant de réunir les deux chambres de bonnes isolées à leur futur duplex avant d’acheter. Ils signent donc avec un risque de refus planant au-dessus de leur projet. Anaïs et Andrea passent alors en mode lobbying activé :

« on a sonné à toutes les portes, on s’est présentés, on a rassuré. J’ai assisté enceinte à la première assemblée générale et finalement on a obtenu l’accord de la copropriété pour acheter les  2m² manquants à 6500€ ».

Mais ils n’en sont pas au bout de leurs peines.



Se faire abandonner en chemin et rebondir

Les travaux sont colossaux. Pour quelque 30 000€, il faut abattre un mur porteur, intervertir la salle de bain et la cuisine, boucher la trémie de l’escalier en colimaçon existant bien trop étroit pour être confortable, en ouvrir une nouvelle du côté salle à manger et construire un escalier sur mesure. Rien que ça. Le père d’Anaïs, ancien architecte, dessine les plans, notamment de l’escalier. Mais les travaux vont déraper : « l’entrepreneur nous a abandonnés », déplore Anaïs.

« Avec le covid, il a accepté trop de chantiers et n’a pas su faire face. On n’a pas fini de le payer d’un commun accord et il est parti sans avoir fini. »

Sauf que pendant ce temps Anaïs accouche alors qu’ils sont hébergés chez un ami. Le camping dure 8 mois, avec un nourrisson. Ils finissent les travaux avec celui qui avait rénové leur premier bien. Malgré le retard, si c’était à refaire, Anaïs ne changerait rien, sauf à prendre un architecte pour suivre les travaux. S’ils veulent quitter Paris d’ici 4 ou 5 ans, ils savent déjà que le jeu en valait la chandelle. Vous avez dit culbute ?


Photo: Pauline Le Goff

En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?

Prêt à vous lancer vous aussi ?
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