Témoignages
Sophie et son projet d'architecte

S’offrir le bien idéal et les travaux qui vont avec

Sophie est architecte et au moment d’acheter son premier appartement, elle ne veut rien laisser au hasard. Et ça paie : elle trouve le bien idéal, et pile dans son budget. Le problème, c’est qu’elle n’a plus d’argent à consacrer aux travaux. Sur les conseils d’un ami, elle fait appel à Virgil pour réunir la somme nécessaire. Sophie revient sur un parcours mouvementé, mais réussi !

Le déclic du décompte

C’est un tournant crucial dans la vie de tout parisien d’adoption : le moment où l’on comptabilise tout l’argent qu’on a dépensé en loyer depuis son arrivée dans la capitale. Pour Sophie, c’est un courrier plutôt anodin de la part de son agence immobilière qui provoque cette prise de conscience. Elle reçoit un décompte des versements effectués depuis son arrivée dans sa colocation du XXème arrondissement.

Six ans à raison de 10 000 euros par an, cela fait une somme considérable qu’elle aurait pu investir ou épargner. Au lieu de cela, ces 60 000 euros, elle ne les reverra jamais. Les chiffres sont là, sur le papier, impossibles à ignorer.  « Ça m’a fait un choc », raconte-t-elle. Le piège locatif n’est plus un concept abstrait.

« Ça m’a fait un choc. »

Comme si un seul déclic ne suffisait pas, il y a autre chose qui vient mettre Sophie sur la voie de la propriété. Son colocataire et ami Baptiste annonce qu’il quitte l’appartement commun pour se trouver un logis bien à lui. Un à un, les amis de Sophie se mettent à acheter dans le quartier.

« J’étais la dernière, tout le monde avait déjà son chez-soi… »  

Il faut dire que lorsqu’on est architecte, comme le sont Sophie et ses amis, avoir son « chez-soi » est un avantage considérable. L’appartement que l’on remodèle pour y vivre devient du même coup une « vitrine » professionnelle : « Ça m’a donné envie d’acheter un bien où faire des travaux, pour avoir de belles photos à mettre dans mon book, une sorte de projet à moi. » Dépenser moins d’argent, se sentir enfin chez soi, et entreprendre un projet enthousiasmant, à la fois pro et perso ? Autant de raisons probantes de se mettre à la recherche de l’appartement idéal. 

Tout est sous contrôle… ou presque 

Le premier critère de Sophie est de rester dans le quartier. Et pour cause : elle travaille beaucoup et voudrait consacrer son temps libre à ses amis, qui habitent tous dans le coin. Et puis le quartier Jourdain offre des avantages de taille, à commencer par la ligne 11, qui dessert bien le centre de Paris. 

Mais l’emplacement ne fait pas tout. Pas question non plus de devoir grimper quatre étages à pied à chaque fois qu’il faut rentrer chez soi : « Si j’achète un appartement en hauteur sans ascenseur, je risque de ne plus jamais sortir de chez moi…», plaisante Sophie. Sur la liste de critères, l’orientation n’est pas en reste : sud-ouest de préférence. Car Sophie a besoin de lumière pour se sentir épanouie : « On m’appelle la plante verte, il me faut du soleil pour aller bien ! » 

Sophie est peut-être exigeante, mais elle ne cherche pas un appartement impeccable. Comme Baptiste, Sophie sait qu’elle peut tabler sur son flair d’architecte pour dénicher un appartement au potentiel immense. 

« Le fait de devoir faire des travaux, pour moi c’était presque un critère. Cela peut faire peur aux autres, mais pour moi, c’est un vrai avantage ! »

Ah, et on oubliait presque un élément essentiel : la baignoire ! Lorsqu’elle voit passer une annonce, Sophie griffonne les plans pour s’assurer qu’elle a assez d’espace dans la salle de bain pour ce petit luxe qu’elle veut s’offrir. Sinon, c’est peine perdue ! 

Il ne faut que 5 visites à Sophie pour trouver un appartement qui coche toutes les cases. Mais il y a un bémol : le budget de Sophie lui permet tout juste de l’acheter, pas d’y faire des travaux. 

Là encore, son bon ami Baptiste lui est d'une aide précieuse : il lui parle de Virgil qui a co-financé son propre appartement et la met en contact avec Marie, l’experte qui l’a accompagné.

« Je lui ai parlé de l' appartement que je voulais acheter, du montant des travaux et de la somme qu’il me fallait. Nous nous sommes tout de suite très bien entendues ». 

Très rapidement, elle obtient une lettre de confort rédigée par Marie qui lui permet de remporter l’offre. Cerise sur le gâteau ? Virgil ne fait pas qu’avancer une partie de l’apport. Il prend aussi en charge ce qui, dans l’opération d’achat, est le plus pénible pour Sophie : la partie administrative. Pas besoin de chercher la banque, le notaire, de rassembler les papiers. Tout ça, Marie s’en occupe avec une efficacité redoutable. 

Pour Sophie, l’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais tant qu’on n’a pas signé l’acte de vente, rien n’est jamais assuré… Gare aux désistements de dernière minute. 

Un de perdu…

« Je ne comprends pas. L’agent immobilier a disparu » : la notaire commissionnée par Virgil n’a pas plus de réponse à apporter à Sophie. Sans la coopération de l’agent immobilier, impossible d’avancer sur le dossier. Sophie est terrifiée de perdre cet appartement idéal qu’elle a mis tant d’efforts à dénicher. « J’appelais Virgil presque quotidiennement, je me sentais vraiment impuissante. À part envoyer des mails, on ne pouvait pas grand chose. » 

À l’autre bout du fil, Marie persuade Sophie de se rendre à l’évidence. Il faut recommencer à chercher. La mort dans l’âme, Sophie comprend que l’agent immobilier avec lequel elle avait conclu un accord s’est désisté. Elle se résout à suivre les conseils de Marie, mais aucune annonce ne suffit à lui faire oublier l’appartement qu’elle a « presque » réussi à acheter. Aucun, sauf un seul, qui a l’avantage d’être dans le même quartier et au même prix que celui qu’elle voulait acheter, mais avec 4m2 en plus. 

À peine passé le pas de la porte, Sophie est charmée : « L'appartement était super, avec une grande baie vitrée de 2m50 par 2m10. » De quoi compenser une orientation nord-est en termes de luminosité.

« Je me suis dit : c’est celui-là. »

Sophie veut agir vite. Ça tombe bien, Marie est très réactive : lorsque Sophie lui envoie l’annonce, elle approuve l’opération quasi-instantanément. Sophie a déjà tous les documents nécessaires : lettre de confort, plan de financement, elle peut tout réutiliser. Très vite, son offre est acceptée. Et cette fois-ci, l’opération ira jusqu’au bout. Mais après l’acte de vente, il  y a encore tout l’aspect administratif à gérer : « la partie qui touche vraiment à l’appartement, c’est mon domaine. Mais dès qu’il s’agit de paperasse, de banque, d’assurances, je suis dépassée ». Heureusement, c’est cette partie-là que prend en charge Virgil. 

« Finalement, j’ai gagné 4m2 de plus, j’ai un grand salon, une belle pièce à vivre et un appartement très lumineux ! Sans les conseils de Marie, je ne serais peut-être pas passée à autre chose, et j’aurais perdu cette opportunité. »

Sophie peut enfin se concentrer sur la partie qu’elle préfère : tout détruire pour tout reconstruire. Elle abat toutes les cloisons pour construire un mur-meuble qui sépare sa chambre à coucher de la grande pièce à vivre de 28m2 où elle fait faire une cuisine ouverte. Dans l’entrée, un grand dressing. Elle choisit de faire une partie des travaux elle-même. Et quoi de mieux pour reprendre des forces après une longue journée à repeindre les murs ? Se détendre dans la magnifique baignoire qu’on a fait installer dans sa nouvelle salle de bain, bien sûr…

En investissant jusqu’à 100 000 € à vos côtés, Virgil vous permet de devenir propriétaire du bien qui vous correspond vraiment. Et vous accompagne à toutes les étapes. Parce qu’on devrait tous être libre d’acheter l’appartement qui nous fait rêver. Chambre d’enfant, rooftop, ou quartier préféré : devenez propriétaire, sans faire de compromis. Et si on en parlait ?

Prêt à vous lancer vous aussi ?
Crédit photo - 
Thomas Decamps
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