En freelance, soit patient(e)

Ils vivent ensemble depuis 13 ans. Lui est adjoint scolaire, elle est freelance pour les plus belles start-ups parisiennes. Elle exerce le métier de UX-UI Designer. Job en pleine expansion, très prisé par les entreprises technologiques, le chiffre d'affaires de Marion gonfle mois après mois. Si bien, que le couple commence à se questionner :

« Et si on se lançait dans l’achat d’un appartement ? »

« Ça fait longtemps qu’on se posait la question » raconte Marion. Casaniers, fan de jolie déco et amoureux de Paris, la perspective d’un appartement à eux, rien qu’à eux, commence à faire son chemin.

Patience et résilience !

À respectivement 32 et 37 ans, Marion et Steven se projettent :

« On est encore jeune, mais on commençait à penser à notre avenir, à notre retraite. Et puis ça a beau être un parcours du combattant, devenir propriétaire, c’est quand même une chance inouïe aujourd’hui à Paris. »

Un parcours du combattant, Marion ne croit pas si bien dire. Si comme la plupart des freelances, elle ne renoncerait en rien à l’indépendance que lui accorde son statut, elle se rend compte pour la première fois d’un des plus grands préjudices liés à son métier : pour obtenir son crédit immobilier, il va falloir se retrousser les manches ! Et faire preuve de patience… Au moment de se lancer dans les recherches, Marion ne cumule pas encore les 3 années d’ancienneté, condition sine qua none pour se faire financer. Virgil est catégorique : il faudra attendre encore quelques mois avant de se lancer.

Le temps des faux espoirs

En parallèle, le couple est approché par un courtier qui leur promet qu’il arrivera à les faire financer. Déterminés, Marion et Steven se lancent dans le projet. Quelques nuits blanches plus tard, ils sont comblés : appartement trouvé, offre d’achat acceptée, devis pour les travaux validé, il ne leur manque plus que le financement. Les jours passent. Une semaine. Puis deux. Sans nouvelles, le couple commence à s’impatienter. Après un temps qui semble une éternité, le courtier finit par rappeler : leur dossier a été refusé par les banques. Et pour cause : la fameuse condition non respectée des 3 ans d’ancienneté. « Psychologiquement, ça a été un cauchemar » raconte Marion.

« On avait fait nos plans, on s’était projetés dans l’appart, dans le quartier. Tous nos copains étaient déjà prêts à débarquer pour notre pendaison de crémaillère. »

L’énergie est précieuse, économisons-la

Les mois passent. L’amertume aussi. Marion approche les 3 ans d’ancienneté et le couple envisage de se relancer dans les recherches. « On a mis beaucoup de temps à digérer notre échec. Après la déception de l’an passé, on s’est auto-persuadés que devenir propriétaire n’était pas de notre ressort. »

Cette fois-ci, pas question de renouveler la déception liée à la méfiance des banques, ni de gaspiller tant d’énergie. Premier réflexe : le jeune couple prend contact avec un chasseur d’appart. Sans rien faire (ou presque !), en quelques jours, c’est plié : ils trouvent l’appart de leur rêve au cœur du 20ème. Deux pièces, une grande salle de bain, beaucoup de rangements, et surtout, un grand salon pour leur permettre d’y installer leurs ateliers respectifs : Marion réalise des vitraux pendant son temps libre et Steven souhaite y installer son atelier de gaming. Ils font une offre et bingo, elle est acceptée.

‍

Côté financement, le couple traumatisé par leur première expérience refuse d’entendre parler d’un courtier. Pourtant, il va bien falloir s’y coller. Marion se rappelle alors de la transparence dont avait fait preuve Virgil un an auparavant. Deuxième contact, deuxième coup de foudre, se remémore Marion :

« On avait besoin d’un allié, d’une personne à qui confier nos inquiétudes, quelqu'un qui pourrait nous rassurer ».

Après une analyse préalable du prix du bien, Virgil envoie leur dossier aux banques. Il est accepté dans la foulée : « C’était trop beau pour être vrai » confie le couple.

‍

Plus qu’un simple accompagnement, Steven et Marion ont été pris par la main et rassurés tout au long d’une des étapes les plus cruciales de leur vie.  « Nous avions un groupe Whatsapp avec notre Spécialiste » explique Marion.

« Chaque jour, j’y posais toutes mes questions et on me répondait avec attention. Ce qui nous a marqué, c’est l’empathie, la réactivité et surtout la transparence de nos interlocuteurs »

Un bonheur n’arrive jamais seul

Si Marion et Steven ont été séduits par l’accompagnement Virgil, les bonnes nouvelles ne s'arrêtent pas là, oh non ! Alors que le couple pensait devoir renoncer au luxe d’une place de parking dans leur immeuble, voilà que le co-investissement Virgil entre en scène. Grâce à 30 000 euros supplémentaires dans leur budget, le couple s’autorise la petite folie d’une place de parking et parvient même à mettre un peu d’argent de côté pour financer leurs travaux. 

« Il est difficile d'acheter à Paris en tant que freelance, et nous en sommes conscients. Mais, lorsque l'on trouve les bons partenaires : TechMeHome pour trouver l'appartement et Virgil pour obtenir le financement, cela fait toute la différence ! »

‍

Et puis comme un bonheur n’arrive jamais seul, une fois propriétaire, Marion prend une décision qui va radicalement changer sa vie. Après avoir fait le tour de son activité de UX Designer, la jeune propriétaire saute enfin le pas et décide de se concentrer sur sa passion : la production de vitraux et d’objets de déco. « Ça faisait des années que j’y pensais, mais ça fait flipper de s'investir à fond dans un univers qui vous fait vibrer. Et puis je gagnais bien ma vie avec ma boîte de UX designer. » 

Comme un automate dans son boulot, Marion programmée dans sa carrière, n’osait pas la rupture. Mais, la stabilité financière liée au fait de devenir propriétaire fait toute la différence.

Comme quoi, la propriété donne des ailes aux rêves les plus audacieux.